résumé: Lorsqu’en 1851 j’ai publié l’ouvrage intitulé : les Chevaux du Sahara, mon but a été d’appeler l’attention de mon pays sur le parti qu’il pouvait tirer de cette race, jusqu’ici peu connue, peu appréciée, sinon des hommes qui l’ont vue à l’œuvre en Afrique. Mon but était en outre de montrer les admirables qualités du cheval arabe, de prouver qu’aucun cheval n’est capable de supporter comme lui la faim, la soif, les fatigues, les intempéries...