Le premier livre s'ouvre sur le long portrait de monseigneur Myriel, évêque de Digne, où, malgré son rang, il vit très modestement en compagnie de sa sœur, Baptistine, et d'une servante, Mme Magloire. Ce religieux est un juste qui se contente du strict nécessaire pour distribuer le reste de ses économies aux pauvres. Pénétré de charité chrétienne, il laisse sa porte grande ouverte et fraternise avec ceux que la société rejette.